Selon certains scientifiques, les pentes courbes descendant lentement de sommets plus abrupts aux latitudes moyennes sur Mars sont probablement des glaciers massifs recouverts de débris.
La nature de ces reliefs connus depuis plusieurs décennies restait controversée. Les hypothèses étaient qu'il pouvait s'agir de glaciers recouverts de terre (La Terre, foyer de l'humanité, est surnommée la planète bleue. C'est la troisième planète du système solaire en partant...) ou d'empilements rocheux remplis de glace. Ils étaient plus grands que les dépôts en éventail de débris trouvés au pied des fortes pentes sous les faibles latitudes. Les bords en forme de lobe sont aussi raides et les dépôts montrent de multiples marques incurvées à leur surface (Il existe de nombreuses acceptions au mot surface, parfois objet géométrique, parfois frontière physique, souvent...) évoquant un matériel visqueux.
John Holt, du Jet Propulsion Laboratory (Le Jet Propulsion Laboratory (JPL), basé à Pasadena aux États-Unis, est une joint-venture entre la NASA et le Caltech...), et ses collègues ont utilisé le radar (Le radar est un système qui utilise les ondes radio pour détecter et déterminer la distance et/ou la vitesse d'objets...) de la sonde Mars Reconnaissance Orbiter (Mars Reconnaissance Orbiter (acronyme : MRO) est une sonde spatiale américaine actuellement en orbite autour de...) pour analyser deux de ces dépôts dans la région occidentale Hellas. Ils ont trouvé que ces zones sont effectivement constituées essentiellement de glaces d'eau (L’eau (que l'on peut aussi appeler oxyde de dihydrogène, hydroxyde d'hydrogène ou acide hydroxyque) est un...), vraisemblablement formées au cours d'une autre époque climatique lorsque la planète (Selon la dernière définition de l'Union astronomique internationale (UAI), « une planète est un corps céleste (a)...) était plus inclinée. Si ces deux dépôts sont bien représentatifs de tous les autres présents sous ces latitudes, l'ensemble (En théorie des ensembles, un ensemble, désigne intuitivement une collection d’objets (que l'on appelle éléments...) de ces glaciers contiendrait alors le plus grand volume (En physique, le volume d'un objet mesure « l'extension dans l'espace » qu'il possède dans les trois...) d'eau martienne en dehors des pôles.
La nature de ces reliefs connus depuis plusieurs décennies restait controversée. Les hypothèses étaient qu'il pouvait s'agir de glaciers recouverts de terre (La Terre, foyer de l'humanité, est surnommée la planète bleue. C'est la troisième planète du système solaire en partant...) ou d'empilements rocheux remplis de glace. Ils étaient plus grands que les dépôts en éventail de débris trouvés au pied des fortes pentes sous les faibles latitudes. Les bords en forme de lobe sont aussi raides et les dépôts montrent de multiples marques incurvées à leur surface (Il existe de nombreuses acceptions au mot surface, parfois objet géométrique, parfois frontière physique, souvent...) évoquant un matériel visqueux.
John Holt, du Jet Propulsion Laboratory (Le Jet Propulsion Laboratory (JPL), basé à Pasadena aux États-Unis, est une joint-venture entre la NASA et le Caltech...), et ses collègues ont utilisé le radar (Le radar est un système qui utilise les ondes radio pour détecter et déterminer la distance et/ou la vitesse d'objets...) de la sonde Mars Reconnaissance Orbiter (Mars Reconnaissance Orbiter (acronyme : MRO) est une sonde spatiale américaine actuellement en orbite autour de...) pour analyser deux de ces dépôts dans la région occidentale Hellas. Ils ont trouvé que ces zones sont effectivement constituées essentiellement de glaces d'eau (L’eau (que l'on peut aussi appeler oxyde de dihydrogène, hydroxyde d'hydrogène ou acide hydroxyque) est un...), vraisemblablement formées au cours d'une autre époque climatique lorsque la planète (Selon la dernière définition de l'Union astronomique internationale (UAI), « une planète est un corps céleste (a)...) était plus inclinée. Si ces deux dépôts sont bien représentatifs de tous les autres présents sous ces latitudes, l'ensemble (En théorie des ensembles, un ensemble, désigne intuitivement une collection d’objets (que l'on appelle éléments...) de ces glaciers contiendrait alors le plus grand volume (En physique, le volume d'un objet mesure « l'extension dans l'espace » qu'il possède dans les trois...) d'eau martienne en dehors des pôles.